Bonjour.

Fervent admirateur et fidèle lecteur d'Alphonse Allais, j'aime parfois rendre un (bien) modeste hommage au maître en écrivant quelque court poème où l'on joue avec les mots pour faire rire. 

Voici justement un de ces poèmes, un distique au titre plus long que le poème (comme aimait à faire Allais dans ses mini-fables) :

Déploration

par l'amante déçue de l'inintérêt de son amant Lazare (Garcin) pour son mont de Vénus et regrets que l'intéressé ne soit pas natif de Metz - où sont les amants les  plus vigoureux, c'est bien connu

Bonne lecture et... à très bientôt pour de nouvelles poésies, bien sûr.

Bonjour

Deux poèmes aujourd'hui, livrés à votre diction.

L'heureux moribond, c'est la chanson d'un ami en partance pour le grand voyage vers cet ailleurs qu'on suppose, et qui n'y voit que du bonheur. 

Puis, de passage à Paris hier mercredi 21 septembre, j'ai improvisé une poignée de quatrains. Tout ou rien, en somme : des poèmes qui prennent tout leur temps, la majorité, et de rares autres publiés à peine écrits. Dont ce Métro, ligne 6.

Bonne lecture et... à très bientôt pour de nouvelles poésies, bien sûr.

Bonjour

Je viens de rédiger une nouvelle note. Si le cœur vous en dit... Elle s'intitule : Malgré eux...

Bonne lecture et... à très bientôt pour de nouvelles poésies, bien sûr.

Bonjour

« J'ai découvert ce poème dans une boîte en fer-blanc, enfouie au fond d'un trou dans le mur d'une cave... » : c'est la Chanson pour [...]. 

Bonne lecture et... à très bientôt pour de nouvelles poésies, bien sûr.