Bonjour.
Quelle plaie, ce f... confinement ! Le seul avantage que je lui trouve : il aura permis à Gaïa de respirer un bon coup puisque les parasites qui la harcèlent sont contraints de cesser (provisoirement, j'en ai bien peur, hélas) leurs activités aux conséquences néfastes.
Du coup, la presse régionale (que, je dois l'avouer, je ne lis jamais), n'ayant que peu de choses à se mettre sous les rotatives, enquête sur la manière qu'ont les gens de vivre leur emprisonnement (consenti). Conséquemment, mon ami François, correspondant du Dauphiné libéré a bien voulu me faire l'honneur de venir me saluer : qu'il en soit chaleureusement remercié. C'est l'article né de cette visite que je vous propose ici.
Bonne lecture et... à bientôt pour de nouvelles poésies !